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Journal d'une victime. Que la honte change de camp ! Impunité des assassins !

2 juin 2020

2019, plainte contre les criminels avocats de LAVAL 53000 ...impunis et en liberté !!

2019, plainte contre les criminels avocats de LAVAL 53000 ...impunis et en liberté !!
Palais de justice A l'attention du Procureur de la République 13, Place Saint Tugal 53000 LAVAL xxxxxx , le xx janvier 2019. Courrier déposé au Palais de Justice le xx janvier 2019. Objet : - plainte contre les avocats, l'ordre des avocats, les bâtonniers....
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1 juin 2020

2014, plainte contre ALLART Géraldine, juriste ADAVIP53 et BESNARD Freddy, policier LAVAL 53000 ... impunis et en liberté !!

2014, plainte contre ALLART Géraldine, juriste ADAVIP53 et BESNARD Freddy, policier LAVAL 53000 ... impunis et en liberté !!
18 juin 2023

Trouvailles sur internet : CORRUPTION JUDICIAIRE

CORRUPTIONS JUDICIAIRES. MAGOUILLES NOTAIRES

29 Avril 2020 , Rédigé par MBGC Editions

GISELE NERON. SOS VICTIMES DES NOTAIRES.

 

EXTRAIT ASSOCIATIONS REFLEXIONS.

 

"C’est ainsi que loin de protéger la victime comme aux USA, la Justice française conduit nombre de victimes au suicide, au mieux à un séjour psychiatrique. Seules les victimes les plus résistantes psychologiquement tiennent tête durant des décennies à l’institution judiciaire, continuent à réclamer que justice soit faite, souvent au prix de vies détruites.

En France, les victimes d’infraction à la loi sont, aux mieux ignorés, plus généralement méprisés, et aux pires enfoncés par la Justice qui a pour vocation première de protéger personnalités, notables, confrères magistrats, avocats, notaires, banques, assurances et autre multinationales.

C’est alors l’hallali pour la pauvre victime ! Menaces, intimidations, expertise psychiatrique, plainte pour dénonciation calomnieuse, tout un arsenal, mafieux ou procédural, est mis en œuvre par l’institution judiciaire pour protéger, non pas la victime, mais le ou les « présumés coupables » !

La victime se retrouve alors doublement victime : victime dans un premier temps d’une infraction à la loi, puis victime de graves dysfonctionnements de l’institution judiciaire.

Pas tant que cela quand on sait que les « inavem », et autres structures dites d’« aide aux victimes » censées accueillir et conseiller les victimes venant de subir une infraction, ont certes des psychologues, mais ces psy directement placés sous l’autorité des parquets, ont pour mission de décourager les victimes d’engager des poursuites et de les signaler à l’instance judiciaire comme « perturbée », si leurs accusations portent sur un notable !

Et si les victimes remettent en cause l’utilité des Inavem, les responsables de ces structures font alors appel aux vigiles pour les jeter dehors, leur interdisent l’accès à leur bureau et les menacent de poursuites judiciaires.

Voilà ce qu’est, en France, la réalité du sort des victimes !

En France, le Code pénal ignore totalement la victime. Peu de personnes le savent. Les peines prévues par le Code pénal sont les peines que risque le coupable pour le préjudice qu’il a occasionné à la Société et non à la victime. La victime, elle, doit apporter les preuves de son préjudice !

Et si la victime ne peut pas se payer les services d’un avocat pour défendre son droit à un préjudice, son préjudice est alors minimisé, voire occulté par les juges.

Bref en France, la Justice c’est pour une victime non seulement un parcours du combattant, mais aussi, et surtout une affaire de gros sous ! Il ne faut en effet pas compter sur nos procureurs — pour défendre les victimes ; ceux-ci ont ordre de classer sans suite — et sans état d’âme — 98 % des plaintes de leurs concitoyens !

On est bien loin de voir en France se résoudre les affaires criminelles mettant en cause des personnalités déviantes sexuelles (affaire de Toulouse, des disparues de l’Yonne, etc.) financières, de voir indemniser les victimes spoliées par les pratiques mafieuses de grandes sociétés (banques, assurances, SNCF, et autres multinationales)...

Les députés et sénateurs ont créé pour eux et pour l’Establishment un cadre juridique qui protège non seulement leurs membres, mais aussi par voie de conséquence évidente, tous les criminels !

Et l’opinion publique s’émeut parfois de voir qu’un tueur arrêté a été remis en liberté, que des récidivistes sont libérés pour bonne conduite, que des pédophiles ne bénéficient d’aucun suivi... sans se rendre compte que tout cela n’est que le résultat de la multitude de lois axées sur la protection des coupables, votées par nos politiques pour protéger l’Establishment dévoyé et criminel, au motif bien français de la « présomption d’innocence » !

Mais force est de constater que cette « présomption d’innocence » que mettent en avant tous les politiques et notables accusés de forfait protège aussi les pires criminels, au détriment de toutes les victimes ! La « présomption d’innocence » a bon dos en France et a encore malheureusement de beaux jours devant elle, notamment avec la Cour Européenne des Droits de l’Homme qui rassemble les magistrats les plus…. des pays européens.

Bref l’affaire Strauss-Kahn devrait faire réfléchir la France sur sa « Justice de…….. » Et sur l’indispensable réforme que le droit au respect des victimes d’infraction exige ! Supermouton.

C’est le principe habituel de la justice à deux vitesses."

30 juin 2020

Préjudices : stress post-traumatique

Les symptômes du stress post-traumatique

https://www.doctissimo.fr/html/psychologie/principales_maladies/ps_2562_stress_post_trauma.htm#les-symptomes-du-stress-post-traumatique

"Les quarante-huit premières heures nous plongent dans un état de stress aigu, avec son lot de peurs intenses, de sentiment d’horreur et d’impuissance, et de crises d’angoisse. Passés ces premiers moments, le mal s’installe de façon plus diffuse. Changement de personnalité (introvertie ou extravertie), troubles du sommeil, cauchemars, troubles cardiaques, réaction d’hypervigilance, agoraphobie, symptômes de réminiscence (sous forme de flashs traumatisants), irritabilité, baisse de la concentration, pertes de mémoire… 

Chez certaines personnes, le stress post-traumatique peut faire apparaître des troubles plus invalidants comme les évitements (éviter la foule, les transports en commun…)."

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Les symptômes d'un stress post-traumatique sont :

  • les reviviscences : le patient revit en partie l'événement. Cela peut se traduire par des souvenirs envahissants, des cauchemars, des flashbacks... Un facteur déclenchant peut en être à l'origine, comme une photo,
  • l'évitement : le patient évite les personnes, lieux, objets, qui pourraient lui rappeler l'événement traumatique,
  • des troubles cognitifs : problèmes de mémoire, de concentration,
  • des troubles du sommeil,
  • meurtre psychologique conduisant au décès, "suicide" forcé;
  • incapacité à travailler; suffocations, gorge nouée, compression au niveau du thorax, maux de tête violents, crise cardiaque, infarctus, AVC ...
  • des problèmes émotionnels : des émotions négatives (tristesse, peur, horreur, culpabilité...), perte d'intérêt pour les activités du quotidien, difficulté à éprouver des sentiments positifs, hypervigilance, irritabilité...

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Comment se manifeste l’état de stress post-traumatique ?

"Le syndrome de stress post-traumatique fait suite à une période de stress aigu et en reprend la plupart des symptômes. La personne traumatisée revit en permanence l’événement à travers des souvenirs, des rêves ou des flash-backs qui la saisissent par surprise.

Parfois, les sensations physiques ressenties au moment du traumatisme resurgissent à l’improviste. Ces symptômes s’accompagnent d’une tendance à fuir tout ce qui pourrait rappeler le traumatisme. Cette attitude d’évitement peut aboutir à l’amnésie partielle ou totale des événements.

La personne atteinte d’ESPT éprouve également un certain sentiment d’anesthésie émotionnelle et de détachement. Elle a l’impression d’avoir perdu le contact avec son environnement, le sentiment d’évoluer en permanence dans le brouillard, anormalement froide et distante.

D’autres symptômes peuvent survenir : troubles du sommeil, irritabilité, détresse, difficultés à se concentrer ou hypervigilance (peur exagérée du monde extérieur). Le trouble anxieux généralisé et sévère caractéristique de l’ESPT se manifeste parfois par des crises d’angoisse ou des attaques de panique. Si la personne a, ou croit avoir une part de responsabilité dans l’événement traumatique (lors d’un accident de la route, par exemple), l’anxiété s’accompagne souvent d’une perte d’estime de soi."

19 juin 2020

2020, Extrait du discours du ministre de l'intérieur le lundi 08 juin 2020, Christophe CASTANER

Résultat d’images pour christophe castaner ministre de l'intérieur

Extrait du Discours du ministre de l'intérieur contre les violences policières  :

"(...) J'ai pour nos forces de l'ordre une exigence particulière, et une intransigeance plus forte encore (...)".

" Porter l'uniforme de policier ou de gendarme, c'est un Honneur, et chacun doit s'en montrer digne. Ces dernières semaines, trop ont failli dans leur devoir républicain. Des propos racistes ont été proférés, des discriminations révélées. C'est inacceptable! (...)".

"Je veux que chacun sache que quand on porte l'uniforme, l'uniforme bleu de la loi, on ne se situe jamais au-dessus d'elle. On se doit au contraire plus encore que d'autres, d'être exemplaires."

"(...) J'ai adressé vendredi aux directeurs généraux de la police nationale, de la gendarmerie nationale, de la sécurité intérieure et aux préfets de police, une instruction qui ne souffre d'aucune ambiguïté : AUCUN ACCROC A LA DEONTOLOGIE NE PEUT ETRE TOLERE ! (...)"

"(...) J'y rappelle que chaque policier et gendarme doit porter visible son R.I.O. Et je demande également que l'usage des caméras-piétons soit renforcé lors des contrôles d'identité."

"(...)Je rappelle aussi aux hiérarchies avec un rôle si particulier, que chacun doit signaler tout comportement raciste ou discriminant."

"(...) Mesdames et Messieurs, ces travaux que j'ai engagés de longues dates, je les assume. Ils s'incarnent aujourd'hui par des actes, des actes forts, nécessaires car ils sont au fondement de la confiance entre forces de l'ordre et population : la CONFIANCE. (...) Voilà le seul sentiment que devrait inspirer l'uniforme de nos policiers et de nos gendarmes."

"(...) bâtir une police de la confiance qui inspire le respect et non la peur. Voilà l'objectif que le président de la république et le premier ministre m'ont donné (...)"

" (...) pour construire cette police de la confiance, nous devons agir aussi sur ce sentiment d'impunité ou d'injustice parfois exprimé. Je veux d'abord mettre un terme aux idées reçues et souvent véhiculées, selon lesquelles les forces de l'ordre ne seraient jamais sanctionnées pour certains de leurs agissements et que l'IGPN agirait comme une grande blanchisseuse.

Ca n'est pas vrai; c'est faux. Je n'ai de cesse de rappeler aux policiers et aux gendarmes leur DEVOIR D'EXEMPLARITE. Et les choses sont claires : chaque soupçon doit mener à une enquête, et chaque faute doit mener à une sanction. (...)"

" (...). En parallèle, j'ai décidé de lancer une réforme en profondeur des inspections du ministère de l'intérieur. Il y a aujourd'hui plusieurs inspections : IGPN, IGGN (...) et au-dessus d'elles se trouve l'inspection générale de l'adminsitration. La réforme que nous engageons des inspections, devra permettre plus de cohérence, plus de collégialité entre ces inspections et surtout plus d'INDEPENDANCE dans leur action vis-a-vis des services. Je souhaite plus d'INDEPENDANCE encore. (...)".

"Je suis fier, je suis fier aussi d'être à la tête de ce ministère, fier de ces femmes, fier de ces hommes qui le font vivre. Fier. Et, j'attends d'eux, le MEILLEUR, l'EXEMPLARITE, l'ETHIQUE. (...)"

"Depuis 30 ans, j'entends revenir ces accusations de racisme, d'homophobie, de sexisme, de discrimination au sein de la police et de la gendarmerie.

Chaque manquement à l'éthique, c'est une blessure dans la confiance entre nos forces de l'ordre et les Français.

Chaque remarque raciste, chaque discrimination, c'est une plaie ouverte dans notre pacte républicain.

"(...) Ce combat je m'y engage totalement, je m'y engage de front, je m'y engage parce que la lutte contre les discriminations est le coeur de mon engagement politique.(...)"

 

https://www.interieur.gouv.fr/Archives/Archives-ministres-de-l-Interieur/Archives-Christophe-Castaner/Interventions/Conference-de-presse-au-sujet-de-la-question-du-racisme-et-de-la-mise-en-cause-des-forces-de-l-ordre


 

https://www.bfmtv.com/politique/macron-et-les-violences-policieres_AN-202006090104.html

 

QUAND EMMANUEL MACRON PROMETTAIT D'ÊTRE "INTRAITABLE" ENVERS LES VIOLENCES POLICIÈRES

Justine Chevalier

 

Le chef de l'Etat rappelait alors sa ligne: "A chaque fois qu'il y a des actes de policiers ou de gendarmes qui ne respectent pas la déontologie je souhaite qu'il soient poursuivis, sanctionnés de manière exemplaire." "

 

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19 juin 2020

Atteintes volontaires à la vie des personnes CODE PENAL

Article 221-1 code pénal : Le fait de donner volontairement la mort à autrui constitue un meurtre. Il est puni de trente ans de réclusion criminelle.

Article 221-2 code pénal :Le meurtre qui précède, accompagne ou suit un autre crime est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.

Le meurtre qui a pour objet soit de préparer ou de faciliter un délit, soit de favoriser la fuite ou d'assurer l'impunité de l'auteur ou du complice d'un délit est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.

Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.

 

Article 221-3 code pénal : Le meurtre commis avec préméditation ou guet-apens constitue un assassinat. Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.

 

Article 221-4 code pénal :    Le meurtre est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'il est commis :

5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation, de sa plainte ou de sa déposition ;

8° Par plusieurs personnes agissant en bande organisée ;

 

Article 221-5 code pénal :  Le fait d'attenter à la vie d'autrui par l'emploi ou l'administration de substances de nature à entraîner la mort constitue un empoisonnement.

L'empoisonnement est puni de trente ans de réclusion criminelle.

Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'il est commis dans l'une des circonstances prévues aux articles 221-2, 221-3 et 221-4.

Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.

Article 221-5-1 code pénal

Le fait de faire à une personne des offres ou des promesses ou de lui proposer des dons, présents ou avantages quelconques afin qu'elle commette un assassinat ou un empoisonnement est puni, lorsque ce crime n'a été ni commis ni tenté, de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.

 

 Article 221-5-2 code pénal :

Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2, des infractions définies à la présente section encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38, les peines prévues par l'article 131-39.

L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.

 

18 juin 2020

https://arretonslesviolences.gouv.fr/ ......

"LES VIOLENCES SEXISTES ET SEXUELLES SONT INTERDITES ET PUNIES PAR LA LOI

#NERIENLAISSERPASSER

J’AI BESOIN D’AIDE

Quelle que soit la violence subie, qu'elle soit ancienne ou récente, ses conséquences pour vous sont importantes. Propres à chaque victime elles sont variables dans le temps et justifient de ne pas rester seule.

Vous pouvez en parler à une personne en qui vous avez confiance, à un professionnel de santé, à une assistante sociale ou une association spécialisée dans la lutte contre les violences faites aux femmes qui pourra vous écouter et vous conseiller.

A QUI M'ADRESSER ?

LE NUMÉRO D’ÉCOUTE, D’INFORMATION ET D’ORIENTATION

3919

Violences Femmes Info

C’est un numéro
d’écoute national destiné :

- aux femmes victimes de violences
- à leur entourage
- aux professionnels concernés

Anonyme et et gratuit, il est accessible depuis un poste fixe et un mobile en métropole et dans les DOM. 

L’outrage sexiste est une manifestation du sexisme, qui s’exprime par des comportements à connotation sexuelle ou sexiste, qui, quel que soit l’espace où il s’exprime ou les formes qu’il prend, porte atteinte à la dignité de la personne en raison de son caractère dégradant ou humiliant, et crée une situation intimidante, hostile ou offensante.

Ces comportements n’ont pas besoin d’être répétés pour que l’infraction soit caractérisée.

Une personne vous impose des sifflements, des gestes et/ou des bruits obscènes, par exemple en suggérant ou en imitant un acte sexuel ;
Une personne vous impose des propositions sexuelles ou des questions intrusives sur votre vie sexuelle ;
Une personne fait des commentaires dégradants sur votre physique ou vos tenues vestimentaires ;
Une personne vous poursuit de manière insistante dans la rue.

Ces actes et ces attitudes sont INTERDITS ET PUNIS par la loi.

Par ces comportements et/ou ces paroles, l’auteur crée une situation intimidante, hostile ou offensante et porte atteinte à votre dignité, votre droit à la sécurité et à circuler librement.

Vous êtes peut-être victime d’outrage sexiste ou d’autres violences sexistes et sexuelles.

Vous n’êtes pas responsable : aucune tenue, aucune attitude, aucun lieu ne justifient un tel comportement de la part de l’auteur des faits. Vous pouvez dire non, signaler votre refus face à ces comportements avec fermeté.

Vous pouvez aussi en parler à une personne en qui vous avez confiance ou vous adressez à une association spécialisée dans la lutte contre les violences faites aux femmes qui vous accompagnera. Contactez le 3919 qui vous apportera écoute et conseil.

N’hésitez pas à signaler ces faits à la police et à la gendarmerie et à porter plainte. Vous pouvez demander à un témoin de vous accompagner pour vous soutenir. La preuve de tels actes pourra être apportée par témoignage et par l’exploitation de moyens de vidéo protection.

En cas d’urgence, appeler le 17 ou le 112 ou par SMS au 114 pour les personnes sourdes ou malentendantes."

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"LES DIFFÉRENTES FORMES DE VIOLENCES SEXUELLES

Les violences à caractère sexuel recouvrent les situations dans lesquelles une personne impose à autrui un ou des comportements, un ou des propos (oral ou écrit) à caractère sexuel. En d’autres termes, ils sont subis et non désirés par la victime. Elles sont l’expression de la volonté de pouvoir de l’auteur sur la victime.

Ces violences portent atteinte aux droits fondamentaux de la personne, notamment à son intégrité physique et psychologique. Elles sont interdites par la loi et sanctionnée pénalement.

Les violences sexuelles recouvrent différentes formes : agression sexuelle, viol, voyeurisme, harcèlement sexuel.... 

Quelle qu'en soit la forme, ses conséquences pour vous sont importantes, nombreuses et durables notamment anxiété, trouble du sommeil et / ou de l’alimentation, peurs intenses, culpabilité, dépression, isolement, conduites à risque ou agressives… 

Elles peuvent avoir un impact sur votre santé mais également sur votre vie sociale, familiale ou encore professionnelle.
Ces manifestations sont propres à chaque victime et sont variables dans le temps. Elles justifient de ne pas rester seule et de chercher de l’aide.

Le consentement :

La notion de consentement est très importante car dans les violences sexuelles, la victime n’a pas consenti et n’a pas désiré ces comportements et/ou propos et/ou image à caractère sexuel. Son refus et son non consentement peuvent être exprimés notamment par des paroles, par des silences, des attitudes, des écrits.

Le consentement doit être réciproque et mutuel : le consentement peut être formulé par des propos, des comportements ou les deux.

Le silence ne vaut pas acceptation. Le consentement est temporaire. Il peut être donné puis retiré. Le consentement concerne un acte sexuel et non tous les actes sexuels. Si une personne n’est pas en état de donner son consentement, c’est donc qu’elle refuse."

12 juin 2020

Pratiques illégales des officiers du ministère public en matière d'infractions au code de la route

https://www.senat.fr/questions/base/2007/qSEQ071002054.html

 

Pratiques illégales des officiers du ministère public en matière d'infractions au code de la route

13e législature

" M. Christian Cambon attire l'attention de Mme la garde des sceaux, ministre de la justice sur les pratiques des officiers du ministère public (OMP) en matière de traitement des contestations relatives aux infractions au code de la route.

Dans son rapport annuel d'activité de 2006, le Médiateur de la République a dénoncé « la pratique illégale suivie par les officiers du ministère public, qui consiste à statuer directement sur le bien-fondé des réclamations qui leur sont adressées, sans les soumettre à la juridiction compétente. ».

Le Médiateur rappelle que l'OMP est un fonctionnaire de police et non pas un magistrat du siège. Il n'a donc pas qualité pour prononcer une sanction pénale, au risque de priver le contrevenant présumé du « droit au juge » garanti par l'article 6 de la Convention européenne des droits de l'homme.

Interpellé par des parlementaires, le ministère de la justice a confirmé que l'OMP n'a pas le droit d' « apprécier lui-même la pertinence des motifs invoqués par le contrevenant dans sa réclamation pour la rejeter ».

Il a par ailleurs reconnu que « certains officiers du ministère public s'arrogent le pouvoir d'apprécier la pertinence des motifs de contestation invoqués par le contrevenant pour rejeter cette contestation ». Une circulaire du ministère de la justice du 7 avril 2006 a clairement rappelé le droit en vigueur : « L'OMP ne dispose pas du pouvoir d'apprécier le caractère bien fondé ou non de la réclamation ou de la requête en exonération, son pouvoir d'appréciation se limitant à l'examen de la recevabilité formelle de la contestation.

Lorsque les conditions de recevabilité sont remplies, la contestation doit être obligatoirement portée devant la juridiction de jugement à moins que l'OMP ne décide de renoncer aux poursuites »

En dépit de tous ces avertissements, il semble que de nombreux officiers de police continuent à réclamer au contrevenant la somme de l'amende après une contestation pourtant formellement recevable. Ils s'exposent ainsi eux-mêmes à des sanctions pénales, une telle attitude pouvant être qualifiée par les juridictions répressives d'abus d'autorité ou de délit de concussion, punis dans les deux cas de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.

 

 

Réponse du Ministère de la Justice

publiée dans le JO Sénat du 03/01/2008 - page 41

L'article 530-1 du code de procédure pénale fixe l'étendue des prérogatives des officiers du ministère public dans le traitement des contestations relatives aux contraventions au code de la route. Aux termes de cet article, l'officier du ministère public près le tribunal de proximité doit, lorsqu'il est saisi d'une requête en exonération ou d'une réclamation, soit renoncer à l'exercice des poursuites, soit saisir la juridiction de jugement, soit informer l'intéressé de l'irrecevabilité de sa réclamation non motivée ou non accompagnée de l'avis de contravention. 

(...)donne pour instruction aux procureurs de la République de veiller au strict respect des dispositions de l'article 530-1 du code de procédure pénale."

 

8 juin 2020

2019, le maire de LAVAL 53000, ZOCCHETTO, accusé d'agressions sexuelles et sexistes ....

https://www.francebleu.fr/infos/politique/temoignage-francois-zocchetto-maire-de-laval-mis-en-cause-dans-une-affaire-de-violence-sexiste-et-1573566978

Laval. Zocchetto, le goût de la discrétion - L'Express

François Zocchetto, maire de Laval, mis en cause dans une affaire de violence sexiste et sexuelle

Mardi 12 novembre 2019 à 16:56 - 

Par France Bleu MayenneFrance Bleu
 
Une femme de 33 ans accuse le maire de Laval François Zocchetto (UDI) de violences et accorde un entretien à France Bleu Mayenne. Les faits remonteraient au 14 juillet 2016. Une affaire pour laquelle Audrey n'a jamais porté plainte. François Zocchetto devrait être convoqué par le patron de l'UDI.
 
Quelques heures après la publication d'une tribune sur francetvinfo.fr "Pour un #Metoo des territoires", une ancienne collaboratrice de Jean-Vincent Placé a décidé de témoigner sur France Bleu Mayenne. Audrey (son prénom et sa voix ont été modifiés pour garantir son anonymat) affirme avoir été victime de violences sexistes et sexuelles de la part du maire de Laval François Zocchetto le 14 juillet 2016, lors d'un voyage à Rome.
 
 

 À quel moment de cette journée du 14 juillet 2016 tout aurait dérapé d'après vous ? 

Quand François Zocchetto est arrivé à Rome en fin d'après-midi, il a commencé à me regarder de façon de très insistante. Il m'a fait des commentaires sur mon physique à trois reprises.

- Des commentaires de quelle nature ? 

Le genre de commentaires que peut faire un homme lorsqu'il regarde une femme en la déshabillant des yeux. En insistant par trois fois sur le fait que ma tenue me va bien. C'était très lourd. 

(...) 

François Zocchetto se lève, s'agrippe à moi, me met une main très bas dans mon dos en me pressant contre lui pendant toute la chanson. 

Moi j'essaie de me décoller. Je suis d'autant plus dégoûtée que je n'ai même pas eu le temps de remettre un soutien-gorge quand j'ai été convoquée pour aller les rejoindre. François Zocchetto se colle à ma poitrine. Il me pelote et c'est absolument répugnant et humiliant. J'ai eu enfin l'autorisation de retourner dans ma chambre, une fois que les deux ont obtenu ce qu'ils voulaient. 

 Pourquoi n'avez-vous pas porté plainte ou engagé de procédure judiciaire contre le maire de Laval après cette histoire ? 

Parce que je n'attends pas de réparation de la part de François Zocchetto. Ce qu'il m'a fait subir, rien ne l'effacera. Aujourd'hui je vais bien, je me suis relevée donc je ne demande pas qu'une enquête explique que mon agression a bien existé. Sans compter qu'à l'époque, l'affaire est remontée jusqu'au Quai d'Orsay.

Ce qui m'intéresse aujourd'hui c'est de faire de la prévention. C'est d'empêcher que d'autres femmes soient victimes. Je veux alerter sur la réalité du comportement de François Zocchetto car son comportement n'est pas digne de celui d'un élu de la République. 

(...) Moi je pense que les Lavallois méritent mieux comme maire que quelqu'un capable de se saouler, de peloter une jeune femme de 25 ans de moins que lui, alors qu'un attentat terroriste a fait 86 morts et qu'il le savait pertinemment. 

 

 Cette histoire à Rome a déjà été révélée l'an dernier dans la presse. Pourquoi avoir décidé de parler maintenant, de façon anonyme certes, mais de vous exprimer sur France Bleu Mayenne ? 

Il y a deux raisons à cela. La première, c'est quand j'ai lu dans le Journal Officiel que François Zocchetto allait être décoré de la Légion d'Honneur par le Premier ministre.

Cela m'a vraiment fait très mal de voir que l'on pouvait récompenser des hommes qui se comportent comme ça avec des femmes et la deuxième c'était de voir qu'il allait se représenter à l'élection municipale.

La façon dont il s'est comporté avec moi, il ne l'aurait probablement pas fait s'il n'avait pas eu son pouvoir d'élu. La puissance de ce pouvoir n'y est pas pour rien dans leur façon dont ces hommes se comportent avec les femmes. Ils se sentent tout permis. "

3 juin 2020

2019, un policier du commissariat de LAVAL 53000 tue son ex-compagne

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/louverne-53950/pres-de-laval-le-policier-aurait-tue-son-ex-compagne-avec-son-arme-de-service-6229386

Près de Laval. Le policier aurait tué son ex-compagne avec son arme de service

Publié le 19/02/2019 à 13h08

"Lundi 18 février, deux personnes sont mortes dans un pavillon de Louverné, près de Laval (en Mayenne). Selon nos informations et les premiers éléments de l’enquête, un fonctionnaire de police a abattu son ex-compagne avec son arme de service, avant de mettre fin à ses jours. Il s’agirait donc d’un meurtre suivi d’un suicide.

Il s’agirait d’un meurtre, suivi d’un suicide. Les faits se sont déroulés ce lundi 18 février, à Louverné, près de la Laval (en Mayenne). Vers 13 h, selon des témoignages recueillis dans le voisinage, des policiers « armés de fusils, et équipés de casques et de gilets pare-balles » sont intervenus dans un pavillon de la rue Claude-Monet. Rapidement, ils sont rejoints par des gendarmes et des pompiers.

C’est dans ce quartier résidentiel que vivait un homme, dans une maison louée. Né en 1969, celui-ci était fonctionnaire de police au commissariat de Laval. Après être arrivé du Nord de la France pour s’installer en Mayenne « pour un rapprochement familial » , il avait le grade de major.

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’arme de service du policier a été utilisée. D’après une source proche du dossier, l’homme s’en serait d’abord servi pour tuer son ex-compagne, puis pour se suicider. Avant de mettre fin à ses jours, plusieurs sources nous indiquent que l’auteur a envoyé un SMS à ses collègues du commissariat pour les prévenir de son crime. Une information qui expliquerait la raison pour laquelle la police est arrivée en premier sur les lieux pour intervenir, alors que Louverné se trouve dans la zone de compétence de la gendarmerie.

 La victime, elle, était âgée de 45 ans et mère de trois enfants, nés d’une précédente union. Contrairement à ce que nous avons écrit hier, « ils n’étaient plus en couple, depuis environ un an, nous assure un proche de la famille de la victime, qui a contacté la rédaction de Laval. Et elle n’a jamais habité avec lui. » "

 

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/mayenne/mayenne-policier-tue-sa-compagne-louverne-se-suicider-1626435.html

Mayenne : un policier tue son ex-compagne à Louverné avant de se suicider

Deux corps sans vie ont été retrouvés lundi 19 février à la mi-journée à l'intérieur d'une maison à Louverné, près de Laval.

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Journal d'une victime. Que la honte change de camp ! Impunité des assassins !
  • J'espère que d'autres personnes victimes auront le courage de déposer plainte, d'outrepasser la peur, les traumatismes, la terreur. Dire la vérité n'est pas diffamer. Se taire profite aux coupables. Se taire conduit à la mort.
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